Dejinanapekin

PREAMBULE

J’ai pour avis qu’il est important de justifier ma position sur mon amour pour la psychanalyse et le communisme à la fois. Les deux semblent contradictoires quand l’un considère l’Homme comme tabula rasa et l’autre tout l’inverse. En réalité je ne suis pas freudien, je suis jungien et ça change absolument tout dans mon expérience vis-à-vis de la psychanalyse et ma vision du monde car Jung, lui, a dédié sa vie à retracer l’origine de l’âme et l’origine de la médecine de l’âme. C’est là-dedans que je me retrouve, puisque Carl G. Jung trouve une dialectique presque métaphysique en l’âme au travers de son androgynie. Déjà tout simplement comme n’importe quel psychanalyste il y a la dialectique du désir mais ce dont je parle c’est plutôt celle de l’âme. La conscience et l’inconscience qui forment une entité androgyne parfaite qui transcende la volonté humaine, c’est tout simplement le plus grand mystère de l’humanité. J’y crois à tel point de m’être fait tatouer une représentation abstraite de celui que je considère mon mentor. Pourtant il est vrai que lui-même méprisait l’URSS, disant que si on voulait des humains sans personnalité, des points dans la foule (sans âme finalement) il suffisait d’y aller. Dans le communisme nous sommes matérialistes mais je pense que les deux extrêmes ne sont pas des solutions viables (solution de facilité de dire ça je vous l’accorde). Je pense que les deux peuvent cohabiter justement car la dialectique existe et que l’inné et l’acquis aussi. L’Homme est malléable mais l’Homme a ses préférences également.

LES ARTICLES

Voici donc pour ce qui suit, mes articles de vulgarisations de la typologie jungienne et autres sujets annexes;

Interview de Carl G. Jung que j’ai moi-même traduite, une V2 sortira car celle-ci est vraiment pas terrible mais elle permet au moins la compréhension de l’entrevue.